Atteindre 70% de production médicamenteuse : le gouvernement met les bouchées doubles

L'industrie pharmaceutique a besoin de grands laboratoires de recherche

L’urgence est à l’investissement pour réduire l’importation de médicaments en Algérie. Une importation qui fait fortunes aux importateurs et fait faillite à l’Etat qui paye chèrement  le médicament des Algériens. Comment inverser la donne ? Place à la production nationale. On parle d’un objectif de couvrir 70% des besoins nationaux jamais atteint.

Les concernés attestent que ce n’est pas impossible avec une stratégie et les moyens adéquats pour booster la production nationale. Le ministre réaffirme, quand à lui, la nécessité, voire l’impératif, de concrétiser ce plafond pour équilibrer la facture médicamenteuse qui puise de la trésorerie nationale des sommes faramineuses.

Le Gouvernement est bien décidé cette fois, indique-t-il. Et un délai de trois semaines est accordé au département de Abdelmalek Boudiaf pour rassembler les bases d’une feuille de route pour relancer une aussi intense production que variée restée longtemps malade par manque d’une réelle politique sur le terrain.

La question demeure : comment y arriver ? Eléments de réponse dans le compte rendu de Hcène Chemache de la Chaine 3.

 

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