La floristique est devenue un centre d’intérêt économique pour les grands groupes mondiaux des industries alimentaires, pharmaceutique, de cosmétologie et de parfumerie.
Sur les 300 plantes utilisées à des fins économiques par le marché mondial des plantes médicinales et aromatiques, l’Algérie dispose de 70% de ces dernières.
Quelques décennies auparavant, l’Algérie se classait en troisième positions des pays producteurs et exportateurs de produits issus de sa flore, telles les huiles essentielles, à l’exemple du thym, du romarin, du pin, du jasmin.
Il faut regretter que ces activités, génératrices de devises fortes, n’aient pas continué à être valorisées.
Des experts dans le domaine de la flore estiment que certaines activités d’exploitation de cette dernière pourraient être facilement relancées, contribuant à en faire des outils économiques importants.