Transaharienne : éradiquer les entraves bureaucratiques pour une meilleure rentabilité

La route transaharienne est à 80 % de sa réalisation. Sur les 20% restants,  10%  sont en cours de travaux et 10% encore à l’état de piste, indique Ayadi Mohamed, secrétaire général du comité de liaison du réseau

Intervenant vendredi sur les ondes de la Radio Chaine 3, celui-ci,  explique  que cette ouvrage va permettre aux opérateurs économiques algériens d’être plus complétifs, notamment sur le marché africain.

La route est comme un accélérateur dans les échanges commerciaux, dit-il à ce propos.  « Plus de véhicules, c’est plus de produits et les coûts de transport diminuent. Donc, vous devenez automatiquement  compétitif» , estime le secrétaire général vu comité de liaison du réseau.

L’intervenant estime que cela ne suffira pas si les blocages administratifs demeurent. «Si je viens avec mon camion et je serai bloqué durant toute une journée par la douane, où au guichet d’une banque, ca ne sert à rien, puisque cela coûte de l’argent...énormément d’argent à nos opérateurs économiques », déplore-t-il.

Mr Ayadi appelle à «la levée des entraves bureaucratiques » pour la prospérité de Tamanrasset et ses enivrons.

    

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