L’agence APS croit savoir que le dialogue inter-Malien inclusif, pour un règlement définitif de la crise au nord du Mali, se poursuit à Alger, « dans un esprit positif ».
Citant, hier, une source du ministère Algériens des Affaires étrangères, elle indique que les représentants du gouvernement Malien et ceux des groupes armés ont été engagées par la délégation Algérienne et l'équipe de médiation qui la soutient, sur « les différents volets des négociations couvrant « les questions de défense et de sécurité, les questions économiques, sociales et culturelles, ainsi que celles relatives à la réconciliation, à la justice et à la situation humanitaire », a souligné la même source
Dans le sillage de ce dialogue, inauguré, mercredi dernier à Alger, le ministre des Affaires étrangères, Ramtane Lamamra, a présidé, hier, des réunions avec l'équipe de médiation composée de l'ONU, de l'UA, de la CEDEAO, de l'OCI, de l'UE, du Niger, du Burkina Faso, du Tchad et de la Mauritanie.
« Ces consultations, signale l’agence, ont débouché sur un accord de principe portant sur la méthodologie ainsi que sur les questions devant être traitées en priorité au cours de la phase initiale du dialogue inter-Malien devant prendre fin, le jeudi 24 juillet, pour reprendre dans le courant du mois d'août prochain à Alger ».
Outre des représentants de Bamako, les six mouvements prenant part au dialogue sont le Mouvement Arabe de l'Azawad (MAA), la Coordination pour le peuple de l'Azawad (CPA), la Coordination des Mouvements et Fronts patriotiques de résistance (CM-FPR), le Mouvement national de libération de l'Azawad (MNLA), le Haut conseil pour l'unité de l'Azawad (HCUA) et le Mouvement Arabe de l'Azawad.
