Le virus Ebola a-t-il été créé dans un laboratoire ? Des spécialistes accusent

Le virus Ebola a-t-il été conçu dans un laboratoire?

Le virus Ebola est-il un instrument de « destruction massive » des populations Africaines ? C'est la thèse défendue par Yves Ekoué Amaïzo, économiste togolais et directeur de Afrocentricity Think Tank, qui pense que le virus a été conçu ailleurs et transféré en Afrique.

Yves Ekoué Amaïzo est formel : « L’origine du virus Ebola est étrangère à l’Afrique ». « Elle se situe, indique-t-il, en Allemagne et la question est donc de savoir si l’on a transféré, depuis 1976, un certain nombre de virus et d’animaux infectés » sur le continent.  

Afin de déterminer, clairement, l’origine de cette grave pathologie, trois praticiens : le professeur Pascal Adjamagbo et les docteurs Kananya Mutombo et Guy Alovor, ont initié une pétition intitulée « Pour une commission d’enquête internationale du Conseil de sécurité de l’Onu et de l’Union Africaine sur l’origine du Sida et de l’Ebola », qu'ils ont adressée aux dirigeants politiques du continent Africain.

Les graves déclarations des personnalités scientifiques africaine sur l'origine du virus Ebola ont été, récemment, étayés par ceux du ministère de la Santé et de l’Assainissement de Sierra Leone qui avait, indirectement, reconnu sur sa page Facebook, qu’il a laissé mener des essais d’armes biologiques Américaines sur son sol, notamment à Kenema et à l’université de Tulane.

Ces essais étaient effectués au nom de l’Institut de recherche médicale de l’armée Américaine des maladies infectieuses (United States Army Medical Research Institute of Infectious Diseases, USAMRIID).

Il ajoute que pour tester l’efficacité de ce virus « en grandeur nature », le où les pays qui l’on créé ont décidé alors de l’introduire sur le continent où il a déjà causé la mort de 3.439 personnes sur 7.478 cas répertoriés.

Selon l’organisation mondiale de la santé (OMS), l’Ebola contre laquelle il n’existe, à l’heure actuelle, ni remède, ni vaccin, pourrait affecter, dans peu de temps, environ 20.000 personnes.  

 

 

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