Coopération Algérie - France : diplômés et cadres des deux Etats pourront accéder à des fonctions dans l’un ou l’autre pays

Des diplômés et des cadres originaires d’Algérie et de France pourront désormais occuper des postes de travail dans l’un ou l’autre pays. C’est ce qui ressort de l’un des nombreux protocoles d’accord conclus lundi à Paris, à l’issue des travaux de la troisième session du Comité mixte économique Algéro-Français.

D’autres protocoles issus de ces travaux, co-présidés par les ministres des Affaires étrangères des deux Etats, Ramtane Lamamra et Laurent Fabius, concerne la coopération dans des domaines relatifs aux transports, à l’agriculture et à la propriété intellectuelle.

En matière de transports en particulier, l’un de ces accords projette la création d'un bureau d'études commun à la Société nationale du transport ferroviaire (SNTF) et le groupe EGIS, spécialiste en conseil et ingénierie.

Le second document signé entre la SNTF et la Société Française des chemins de fer (SNCF) est relatif à la rénovation du mobilier urbain des gares Algériennes. 

L'entreprise Algérienne Asmidal et le groupe Français  Roullier ont, par ailleurs, signé un accord visant à développer de la production d’engrais en Algérie.

Par ailleurs, l’entreprise Lafarge et le Groupe industriel du ciment d'Algérie (GICA) ont conclu un accord destiné à impulser la production de la cimenterie de Raïs Hamidou (Alger).

L’autre document signé entre les deux parties tend por sa part à développer la production de vannes industrielles au bénéfice du secteur de l’énergie.

 

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