Sécurité hydrique : le dessalement d’eau de mer, un procédé indispensable

L’eau, cette ressource qu’on qualifie aujourd’hui d’or bleu constitue un enjeu capital et fait objet de toutes les convoitises. Pour les analystes, la sécurité hydrique est l’un des garants de la souveraineté des Etats et de leurs développements économiques.

La Chaine 3 de la radio nationale revient, dans une série de reportage, sur la stratégie de l’Algérie pour développer sa ressource en eau et s’intéresse particulièrement, ce dimanche, au dessalement d’eau de mer. Un procédé choisi par le pays pour parer au stresse hydrique et sécuriser les régions nord du pays.

«Avec la nature de notre climat, la situation géographique de l’Algérie, la croissance démographique et le développement urbain, il fallait opter pour une ressource pérenne», explique Abdelwahab Smati, directeur des ressources en eau non conventionnelle au ministère des ressources en eau.

En plus des 11 stations de dessalement d’eau de mer opérationnelles dans le nord du pays, 4 nouvelles sont en cours de réalisation à Guelma, Alger, Béjaïa et Skikda.  

National, Economie